Philosophie

Philo : La solitude est-elle une condition nécessaire de la pensée ?

Une pensée es t personnelle, quel qu’en soit le contenu, lorsqu’elle traduit un sentiment intérieur. Penser ne veut pas forcément dire que l’on adhère à une opinion, mais que l’on construit une logique pour établir la vérité ou, s’en rapprocher le plus possible. On ne parle pas de possession de la pensée, comme l’on pourrait parler de posséder un bien, on forme et travail cette pensée comme un menuisier travail son meuble et le bois pour aboutir à son idée de départ ou même peut être quelque chose de mieux formé, plus artistique. Cet aboutissement, pour la pensée, c’est tous les arguments qui peuvent nous amener à porter un jugement. Et c’est donc par toutes ces raison qu’une véritable pensée, argumenté, justifié, etc…, se distingue d’un jugement trop attife et souvent cliché.

Il peut tout à fait paraitre logique et normal de vouloir s’isoler pour être en relation avec sois même. Cette solitude peut s’exercer pour acquérir la vérité à travers nombreux arguments et si non trouver la vérité, voir à s’en approcher à travers une argumentation et une réflexion conséquente. Il peut aussi être admis que la solitude n’est qu’illusion, car nous serons, dans nos pensées, en discussion avec nous-même. En effet, le dialogue est primordial à la pensée, car si il n’y a qu’un seul point de vue, réfléchir et apporter des arguments contradictoire peuvent paraitres difficile. Mais si nous prenons le terme au sens premier, la solitude n’est donc pas une condition de la pensée car nous pense naturellement même lorsque nous sommes avec d’autres personnes. Il peut aussi y avoir le risque de « l’embrigadement » qui peut amener des contradictions, car si les autres nous influence dans nos pensées, alors la solitude redevient nécessaires à la pensée pour permettre une réflexion utile et le plus possible impartial de son