LA TECHNOCRATISATION DE LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT

L’équipement écologique n’a pas toujours été appuyé par l’état. Plusieurs déclarations ministérielles, du XIX siècle, ajoutes que le solaire serait toujours pour l’avenir.

<< Le soutien au nucléaire étant prioritaire, et alors que les Allemands lançaient une filière industrielle solaire. Une DDE (Direction départementale de l'équipement) du midi de la France avait même, dans les années 1970, refusé un permis de construire pour un équipement de chauffe-eau solaire sous prétexte, pour le moins surprenant, que les capteurs, porteraient atteinte aux équilibres biologiques ou à la préservation des espèces animales >>.

Présentement, ces une multitude de normes et de dispositifs publics. L’eau et les Parcs naturels sont des parfaits exemples car ils sont les causes de plusieurs pollutions. Seine-Normandie, l’agence d’eau française la plus importante à 185 membre dont 37 fonctionnaires d’État, 74 membres des collectivités territoriales et 74 membres représentant les usagers (industrie, agriculture, association, etc.). L’agriculture et l’industrie montre une forte pression du conseil administratif. Ceci explique que le département de l’agricole à 28 fois plus de financement de l’agence de l’eau que des dettes de pollution. L’industrie touche presque 26 millions d’euro pour dépolluer mais ne participe que pour 19, les pollueurs paient beaucoup moins qu’ils ne touchent. Paul-Louis Giradot est élu vice-président en 2008 de l’agence d’eau (Seine-Normandie). Il est une personne qui à un immense parcourt. Avec ses compétences, les intérêts des groupes industriels ont peu de chances d’être délaissés. D’un organisme consacré à combattre pour améliorer la qualité de l’eau, un des principaux indicateurs de celle de l’environnement. Le conseil d’administration est constitué de 35 membres dont un tiers de haut fonctionnaire. Les principales personnes technocratiques, experts techniques et de leurs méthodes