La theorie ricardienne de la repartition
La répartition est pour DR un des enjeux central de l’économie politique. Il distingue tout comme AS les ouvriers, les capitalistes et les propriétaires terriens. Chacune de ses classes bénéficient d’un revenu les ouvriers d’un salaire, les propriétaires terriens les rentes et les capitalistes les profits. Mais pour DR seul les profits et les salaires rentre en compte dans la répartition car la rente ne fait pas partie du prix elle est alors écarté de la répartition. La répartition est alors définie chez DR par une relation inverse entre les salaires et les profits.
1. La définition de la rente à laquelle s’attache DR est celle d’une rente différentielle. C'est-à-dire uniquement déterminé par la différence de fertilité des terres. Les terres les moins fertiles nécessite une plus grande quantité de travail et appelle à un prix plus élevé. Les terres les plus fertiles on besoin d’une moins grande quantité de travail mais le prix de blé sera le même. De cet écart le propriétaire terriens tirera une rente, cette dernière n’est pas une cause du prix (ce n’est pas par ce que il y à rente que le prix est élevé) mais un effet (c’est par ce que le prix est élevé qu’il y a rente). Cette dernière n’est pas une partie constituante du prix et est de ce faite «écarté de la répartition. 2. Les salaires sont déterminés chez DR par le prix naturel du travail, car comme toute autre marchandise le travail à un prix naturel et courant. Le prix courant (ou de marché) peut s’éloigné du prix naturel et donc offrir à l’ouvrier un meilleur revenu ou un plus faible. DR souligne 2 causes de variation une lié à l’offre et à la demande et l’autre au prix des denrées de subsistance. Le prix naturel du travail étant fixé sur le prix des denrées nécessaire à la survie de l’ouvrier, si ce dernier augmente le salaire aussi. Puis si le niveau du capital augmente il y aura un plus grande demande de travail ce qui tendra à augmenté le