La théorie de la contingence
La théorie de la contingence insiste sur l’hypothèse de base que les organisations dont les structures internes répondent au mieux à la demande de l’environnement parviendront à une meilleure adaptation et donc à une meilleure efficacité. C’est là sont côté innovateur qui consiste à comprendre les rapports unissant contexte et performance.
Afin de faire face aux différentes circonstance qui s’offrent à elle, l’organisation doit prendre en considération plusieurs facteurs dont les plus courants sont : la taille de l’entreprise, qualification des technologies, incertitude environnementale, particularité individuelle. Donc, une organisation est supposée s’adapter à l’environnement et ceci ne peu se faire que si elle adopte une structure organique basée sur une capacité d’adaptation où les individus s’informent et coordonnent en dehors du système hiérarchique établi. « L’environnement d’un système est le milieu par rapport auquel celui-ci évolue. Il se compose des éléments externes avec lesquels le système entretient des contacts. » (Gilbert). Cette théorie réfute alors le One best way qui s’appuie sur une structure mécanique adaptable à un environnement stable. Selon Joan woodwad, l’organisation n’adopte pas une seule meilleure manière. En analysant les systèmes de productions des différentes entreprises, elle constate qu’à chaque type de production correspond une fonction. Quant à Mintzberg, il tente de rendre compte de la manière dont se structurent les organisations. « Diviser le travail en tâches distinctes et en assurer la coordination. »
Chaque organisation est scindée en cinq parties :
➢ Centre opérationnel : Un ensemble d’opérateurs qui effectuent le travail directement lié à la mission de l’organisation. ➢ Sommet stratégique : se trouve au sommet de l’organisation ➢ Ligne hiérarchique qui relie le centre opérationnel au sommet stratégique ➢ Technostructure : conçoit, met en place et