La valeur du travail
2334 mots
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INTRODUCTIONGénéralités
Le constat de L'Institut National de la Statistique sur la pauvreté au Cameroun est que : En 2008 39.9% de la population vivrait en dessous du seuil de pauvreté fixé à 738 francs CFA par jour. En 2001, le seuil de pauvreté était fixé à 640 francs CFA par jour nous constatons qu’en 2008, le taux de pauvreté à augmenté de 98 francs CFA si rien n’est fait, ce taux augmentera encore d’environ 98 francs CFA. Le Cameroun s’efforce à travers le plan de relance économique à réduire ce taux de pauvreté, c’est ainsi qu’en 1991, le taux de réduction de la pauvreté était de 50%, en 2001 ce taux de réduction était de 40.2% soit une baisse de 8,8%. L'Institut National de la Statistique du Cameroun pense qu’en 2015 le taux de réduction de la pauvreté pourrait être estimé à 25.25% soit une baisse sensible de 14,95% par rapport à 2001. Si nous nous appuyons sur le fait que tous les Camerounais sont membre d’une communauté religieuse et qu’il y aurait presque 15% des Camerounais qui n’appartiennent à aucune église, et d’autres part si nous acceptons qu’il est facile pour un Chameaux de passer par le trous d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume des cieux, nous pourrions conclure que : 85 % des pauvres sont membre d’une communauté religieuse. Par conséquent, le devoir de réduction de la pauvreté revient aux responsables des églises. Il leur revient de lutter contre la pauvreté. Malheureusement, le besoin d’implanter une église de nos jours chez un leader chrétien n’est pas toujours par souci de voir croître l’œuvre de Dieu. Les agissements de certains leaders d’église de nous jours laissent percevoir que l’église est une entreprise capitaliste ou il faut se faire du profit au dépend du peuple de Dieu qui sont déjà démunis. Etant pauvre, on les dépouille d’avantage. D’ailleurs il est fréquent d’entendre certains pasteurs estimer leur richesse en faisant des statistiques sur le nombre des chrétiens fréquentant leur