La vie de george sand
Le 30 juillet 1830, elle fait la connaissance de Jules Sardeau, qui devient son amant peu après mais aussi un collaborateur, qui font publier en septembre 1830, un roman Le Commissionnaire, aussi Rose et Blanche publié en décembre qui est signée Jules Sand.
En 1832, elle rédige seule et publie Indiana mais sous le pseudonyme de George Sand. Elle provoque le scandale à cause de ses allures d’hommes, fumant la pipe afin d’écorner l’image traditionnelle de la femme soumise. Elle écrivait avec une facilité déconcertante, que parfois certains auteurs ne se retenait pas pour donner leurs critiques Jules renard déclare « George Sand est la vache bretonne de la littérature », Charles Beaudelaire ajoute aussi « Elle est bête, lourde et possède la même délicatesse de sentiment que les concierges ». Elle débute une collaboration avec la revue des Deux-Mondes, dans laquelle elle rédige des chroniques. Elle y fait la rencontre d’Alfred de Musset en 1833, lors d’une rencontre qui réunit les collaborateurs. Peu après ils deviennent amant et la même année publie Lélia, avec Alfred de Musset, ils partent en Italie en compagnie de Stendhal. Alfred de Musset tombe malade, entre temps elle entretient une relation avec le médecin Italien Pagello qui a soigné Alfred de Musset, leur séparation est alors prévisible. Elle quitte l’Italie et revient à Paris. En 1836 elle obtient enfin la séparation avec son mari. Plus tard commence de nouvelles amours, avec Fréderic Chopin, à la même période, ils décident de partir en Espagne accompagnés des enfants. Elle continu malgré tout son travail, Chopin tombe malade entre temps. En décembre 1840 parait Le Compagnon du Tour de France, qui est inspiré