La vision de l’enfance : Antigone
La pièce d’Antigone de Jean Anouilh nous offre une perspective unique de l’enfance. Nous sommes submergés dans le monde simple des enfants; plein d’optimisme, l’innocence et de la naïveté. Par contre, Anouilh introduit l’autre coté de ce monde fantastique; un monde de conséquences, confusion et de l’absurde. Par la pièce d’Antigone, Anouilh nous crée une vision de l’enfance en juxtaposant la pureté unique à l’enfance et ensuite la confusion créée par le passage adulte.
D’abord, la vision d’enfance d’Anouilh entraine l’idée d’une monde de pureté et de simplicité. Il commence par exiger l’innocence de l’enfant; un enfant manque de l’expérience dans le monde. Lorsqu’Antigone décris le jardin, après sa promenade pendant la nuit, elle dit « C’est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes. » La manière dont elle parle nous suggère un tons de nostalgie - elle veut appartenir dans un monde qui ne porte pas de responsabilités ou d’expectations, ni « ne pense pas encore aux hommes ». L’innocence des enfants leurs donne tendance a regarder le monde avec un œil d’optimisme; de plus leurs manque d’expérience les exempts du cynisme. Lorsqu’Antigone décris sa promenade du beau matin, elle décrit une vision sensuelle d’un monde pur avec une beauté fine, « Tout était gris Maintenant tu ne peut pas savoir, tout est déjà rose, jaune, vert… Il faut te lever plus tôt, nourrice, si tu veux voir un monde sans couleurs. »
Le monde de pureté relie par Anouilh est un monde d’innocence avec une aire de simplicité. Le dramaturge démontre par ses caractères une simplicité unique a l’enfance : il n’y a que le désire, et l’action pour le poursuivre. Dans sa vision de l’enfance, Anouilh décris le raisonnement de l’enfant comme incomplexe; la décision prise avec cette raisonnement montre aucun considération des facteurs ou résultat du décision en question (famille, réputation, amoureux etc.). Essentiellement, c’est le raisonnement dans la forme le