La Civilisation, ma mère!La Civilisation, ma mère!La Civilisation, ma mère!Ce livre nous ramène au Maroc et raconte l’histoire d’une femme à la conquête de sa liberté.La Civilisation, ma mère!De la première sortie aux réunions politiques en passant par l’apprentissage scolaire, c’est l’éveil d’une femme à la conscience qui est mis en relief et raconté par un narrateur, vigilant obsevateur de cette mutation qu’il appelle de tous ses voeux. La Civilisation, ma mère!Le parcours de cette femme est …afficher plus de contenu…

Qu’est-ce que chacun (chaque personnage) représente?Les fils représentent les fils qui adorent leur mère et le respect et l’amour de la mère dans la culture maghrébine (la culture musulmane de l’Afrique du Nord). L’intelligence, l’éducation, la civilisation.La mère représente la femme musulmane isolée, négligée sans voix à la recherche d’une identité et d’une éducation.Le père représente le patriarcat, une société dominée par les hommes qui ne fait pas attention aux femmes.QuestionsJusqu’à ce point, comment est-ce que le titre : Civilisation: Ma Mère est approprié?Tout le livre raconte les rapports changeants entre la mère et la civilisation : Au début, elle est naïve, ne sait rien de la technologie de l’ouest ni du monde extérieur, mais peu à peu, elle s’en informe et commence à accepter les explications …afficher plus de contenu…

Tout le monde voulait savoir comment son histoire se terminait.Chapitre 7 - Réponses7. Les deux preuves qu'on a de l'influence américaine en Afrique du Nord sont que;a) le film était “en technicolor made in Hollywood” (on remarque aussi l'emlpoi de la langue anglaise)b) le directeur a dû payer en dollars américains.c) les spectateurs connaissaient les acteurs américains.d) il y avait un “surplus américain” dans la ville.Chapitre 7 - Réponses8. Ce qui indique que la visite au cinéma a eu un profond effet sur la mère c'est qu'elle n'a pas dormi pendant toute la nuit après avoir vu le film.9. À cette époque-là, la mère avait 35 ans. En bonne femme marocaine elle était habituée à la stricte vie intérieure (à s'occuper de son mari, de ses fils, de la cuisine, de la lessive, du ménage) sans se plaindre.Chapitre 7 -