La connaissance objective est-il trop lâche pour être choisi
L’idée que son acte, décrire, sa conférence, ne serait que le jet de “marques noires sur un papier blanc” me pousse à penser qu’elle possède deux sens, un premier explicite, et un autre qui serai une analogie d’un monde binaire, machinal. Karl Popper poursuit avec sa troisième partie débutant sur “Ou, pour utiliser” et finissant par la fin du paragraphe, dans une approche qui pose davantage de questions et de problèmes. L’introduction de l’art en exemple mais à l’épreuve le raisonnement humain. Il est question ici par un exemple concret, explicite, d’une remise en question de l’homme, de l’être en tant qu’existence, puisque l’art touche au ressentit et que ce monde inclus …afficher plus de contenu…
Karl Popper commence par nous donner dans cette première partie, sa définition du déterminisme physique, que Popper apparente à un cauchemar, il s’agit pour lui d’une réalité trop violente, pour la raison, assimilant cette idée au fantastique, de l’ordre du rêve. Ce monde anéantissant toute humanité, place l’homme dans un mécanisme automatique, comparable à une bielle dans un moteur de voiture. Cette image de la machine, traduit l’inexistence de la créativité et du libre arbitre, expliqué dans la deuxième partie. Seulement je me pose tout de même la question du lien entre, l’homme comme “rouage” et la destruction du libre arbitre. Pour moi il n’est pas direct. Le fait que l’homme soit un composer d’un mécanisme ne place pas nécessairement l’être dans le néant. Nous pouvons imaginer des êtres libres dans un mécanisme déterminé, en introduisant cette liberté des êtres, comme composant de ses rouages, déterminé, par des actes volontaires. Ou du point de