La jeune fille à la mère
La voix de la narratrice dit que « la très jeune fille promis, cette fois-là d’être encore plus attentif que les autres fois. » le verbe promettre apparaît, alors, comme une fausse promesse, puisqu’on va le voir, par la suite, elle va se réfugier dans l’imagination.Finalement, après que la mère est murmurée quelques mots à sa fille, on peut d’ailleurs en déduire qu’elle lui a avoué sa mort venu, la fille semble se mettre à la place de sa mère « je vais te répéter pour que tu sois sûre que j’ai bien entendu. Ma petite fille quand je ne serai plus là, il ne faudra jamais que tu cesses de penser à moi. Tant que tu penseras à moi tout le temps sans jamais oublier… Je resterai envie quelque part …afficher plus de contenu…
« J’ai très bien compris. », elle est comme dans un déni total. Cependant, la réplique de la petite fille est touchante, on assiste à une sorte de pacte familial, puisque la fille dit « tu peux compter sur moi », et appelle/désigne sa mère pour la première fois par une formulation affective : « Maman ». Elle semble très attachée à sa mère et souhaite la rassurer.Finalement, l’extrait s’achève par la réplique de la narratrice ; elle rappelle la confusion et le quiproquo des paroles entretenus entre les deux protagonistes (la très jeune fille et la mère) et confirme par la suite que l’imagination débordante de la fille peut être dû à l’émotion véhiculée et alerte, le lecteur sur les dangers et l’absurdité de l’imagination : « dans la vie, son imagination, galoper parfois à toute vitesse dans sa tête et lui jouer des