Le Beauté d'être Piégée
La Beauté d’être Piégée
LXXVIII Spleen par Charles Baudelaire est une des plusieurs poèmes recueillis dans son livre Les Fleures du Mal. Publiée en 1857, ses pièces artistiques ont été établies pendant le mouvements de classicisme, parnasse, et de symbolisme; trois styles littéraires qui sont adapté beaucoup à travers sa poésie (Rincé, 2014). Cependant, à moins de ses travaux, Baudelaire préconisait pour le développement de la beauté naturel quant à la modernité tout au long de sa carrière poétique. De plus, il détachait la poésie de la moralité, et concentrait sur la relation entre le malveillant et la beauté (Gadeyne, 2013). En outre, à travers le sonnet : LXXVIII Spleen écrit en quatrain à vers alexandrin, Baudelaire raconte sa perception de la rate par exprimer comment les humains cherchent une vie idéal qui est inaccessible, pour le bonheur éphémère; une idée qui se voit indirectement dans le titre du poème (Rincé, 2014). En rimes croisés et riches, Baudelaire exprime sa perception de la vie et de la morte, en séquence et en harmonie avec la nature.
Baudelaire introduit les trois premiers quatrains du poème en illustrant l’atmosphère dans une manière dont le lecteur peut non seulement visualiser le contexte, mais peut aussi sentir physiquement de ce qui ce passe dans les mots de l’auteur. Il utilise la lourdeur et la puissance de la nature pour exprimer l’état de son psychisme. En utilisant les analogies, il dépeint des émotions déprimées par comparant et par reliant le modicité du ciel, l’humidité de la terre et l’étalant de la pluie à l’angoisse de la vie (Baudelaire, LXXVIII Spleen). Ceci montre la réalité de la vie et comment toute chose naturel va en fait pourrir et en temps voulu, va mourir. Dans le dernier vers de la première strophe, Baudelaire utilise une oxymore quand il dit « Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits » (LXXVIII Spleen, strophe 1 : vers 4), pour signifier plusieurs émotions profondes. L’expression «