Nous désirons tou ivre hereux. C'est même notre grand rêve, le dénominateur commun aime toutesnos occupations t toutes nos préccupatins. La force de cette aspirtion à mener une existence épanoue est telle que l'n ne se pose pas, d'ordinaire, la question de savoir s'il nous est donnéou non de pourvoir y parvenr. On se foclise plutôt sur les voies et moyens.
Mais, ce désir de tous lesdésirs se heurte imnquablement à la triste et rutale réalité. De fait, les difficultés que nous rencontrons sur le cheminde la vie peuvent être considérables au nt de paraître insurmontables. Faut-il, aors, désespérer du bonheur
Réféchir sur la question du oheur c'est ainsi se confronter au problème de savoir si nous dispsons de ressorces véritables pour franchir le fossé qu sépare le rêve de la réalité.
L'homme, affirme Aristote, vit pour être heureux. Si le bonheur est ainsi le but de la vie humaine, doit-on pour si peu admettre qu'il est nécessairement accessible ? Son caractère inaccessible ne le rendrait-il pas encore plus désirable, et ne pourrait-il pas alors orienter encore davantage l'existence du sujet, en conférant à cette dernière une tension permanente visant une fin tout en sachant qu'elle ne l'atteindra jamais ? Si dee pus on se préoccupe d'un bonheur qui, au-delà du seul individu, concernerait l'humanité dans son ensemble, ne se trouve-t-on pas ligé de constater que le bonheur est en fait impossible à définir universellement et qu'ainsi s'impose bien son inaccesibilité collective ? e plus on se préoccuped'un bonheur qui, au-delà du seul individu, concernerait l'humanité dans son ensemble, ne se trouve-t-on pas obligé de constter que le bonheur est en fait impossible à définir universellement et qu'ainsi s'impose bien son inaccessibilité collective