Le conflit inter-generationnel
Mais, à envisager l'homme comme partagé entre sa part de nature et son désir de la dépasser et donc ne plus la suivre, l'homme ne serait-il pas plutôt la charnière entre la nature et l'artificiel ?
Extrait du document:
La nature n'est pas capable d'émettre de jugement de valeurs et donc de fonder une action morale puisque toute démarche humaine porte atteinte à l'ordre de la nature. Et ceux qui font appelle à la nature en termes de modèle, trouvent un éventail d'exemples qui peuvent leur convenir et justifie ce que l'on veut. La nature ne peut nous donner un fondement moral objectif. La modernité s'est construite sur le rejet du finalisme. Nous devrions plutôt comprendre la nature comme une intelligence créatrice, dans laquelle il n'y a pas d'arbitraire. La nature est régit par une théorie de l'action-réaction. Un processus global qui fonctionne à l'image d'un cycle, c'est-à-dire un acte va entrainer une modification et ensuite retrouver son état