Comme nous le savons tous, dans la pièce, Théophile se sens affliger par Dieu. Le diable l’encourage en le disant que Dieu est bien cruel et qu’il lui a mis dans une mauvaise situation, qu’il a tombe dans le mauvais pas. Le diable lui dit de ne pas s’occuper d’implorer Dieu, et Théophile en fait la prière au diable. Le diable répond en disant « dépend de moi et je t’aiderai plus que de raison. » En revanche de ceci, il vend son âme au diable.

Le personnage du Diable ou Satan, comme il est aussi nommer, est la représentation stéréotypée du diable. Il s’agit d’une représentation pur de tous ce qui va contre le catholicisme. Ceci pose un binaire classique dans le théâtre médiéval. Il dit au Salatin que si Théophile invoque Jésus, le fils de Sainte Marie, qu’il lui refusera tout aide, mais si il l’abandonne, qu’il donnera à Théophile de la puissance, pour qu’il soit plus puissant qu’il ne l’a jamais été. Une citation dans la pièce illustre parfaitement les traits de caractère du diable. Suite à ce que Théophile rend la lettre au Diable, il lui dit comment agir. Dans ses instructions, on voit clairement les valeurs du diable.

Au vers 526, page 55, le diable dit :
Pour commencer, il dit « Théophile, mon très cher ami, puisque tu t’es remis entre mes mains, je te dirai ce que tu feras. Jamais homme pauvre tu n’aimeras; si un pauvre homme en détresse te prie, détourne l’oreille, passe ton chemin. » En autres mots, il dit de ne pas sympathiser avec les pauvres et regarder de l’autre direction quand quelqu’un vient lui demander de l’aide. Ceci va contre les valeurs du catholicisme.

Il continue, « Si quelqu’un s’humilie devant toi, réponds lui avec orgueil et cruauté. » En autres mots, il dit que si quelqu’un se soumet devant toi par faiblesse ou manque de courage, répond lui en démontrant de sentiment exagère de ta propre valeur, met toi au-dessus de lui.

Il continue, « Si un pauvre frappe à ta porte, garde-toi qu’il emporte une aumône. » En autres mots,