Le personnage du roman, reflet de la société.
De nombreux auteurs du 19e siècle intègrent leurs personnages dans un registre réaliste de manière a ce qu’ils correspondent à une description particulièrement développé du genre humain pour permettre au lecteur de s’identifier aux personnages. Cependant d’autres auteurs privilégient un personnage caricaturé perdu dans les décales de notre société où même reflet de leur imagination afin, bien souvent, de diffuser un message implicite où de faire réfléchir le lecteur sur un thème qui lui tient a cœur. On dit souvent que le personnage du roman est le reflet de la société : l’est-il vraiment ? Et dans quelles mesures échappe-t-il alors à la réalité ? Le personnage représente avant tout une vision réaliste de notre société mais nous verrons aussi qu’il peut tout à fait sortir des limites de ce réalisme et atteindre les bornes de l’imagination.
Les auteurs de roman ont souvent privilégié une écriture réaliste car il est plus facile de décrire la morale humaine par l’expérience de la vie où l’analyse de la société que par l’utilisation de la fiction. Le réalisme de ce personnage passe avant tout par leur description, très détaillé parfois d’une minutie extrême. Balzac est le maitre du genre, presque tout ces roman sont caractérisés par cette analyse physique est moral scrupuleuse de ses personnages. Dans Le Père Goriot, Balzac décrit la décrépitude autant physique, moral que sociale du personnage éponyme au fur et à mesure de l’acensions de sa résidence dans les étages de l’immeuble. Cette déchéance est très semblable à celle de la vie et de la vieillesse commune à chaque homme. On peut aussi