Le système fiscal français est-il inégalitaire?
La notion de marché et de classe sociale s’est dégagée en France à partir de la fin du 18ème siècle avec l’arrivée de la révolution industrielle. Ce changement d’organisation social va réorganiser les besoins et priorités des individus et les adapter en fonction de leurs ressources. Afin de permettre une certaine homogénéité du pouvoir d’achat entre les individus, ainsi que le financement de biens et institutions du secteur public, l’Etat se doit d’introduire des impôts et des taxes. Cependant, ces prélèvements obligatoires fluctuent en fonction des époques : crises, guerres, prospérité économique (« 30 glorieuses ») … Bien que la création d’une imposition ai été faite pour permettre une certaine égalité fiscale entre les ménages, de plus en plus de contestations se font entendre actuellement, engendrées par exemple par la création d’un bouclier fiscal sous le mandat de Nicolas Sarkozy qui, pour ses détracteurs profiteraient seulement aux plus riches, ou bien par l’existence du RSA (Revenu de Solidarité Active) qui selon les détracteurs serai une mesure qui encouragerai les abus. Une question se pose alors à nous : le système fiscal français serait-il tombé en panne ? Peut-il satisfaire tous les partis, ou faut-il l’adapter de manière à satisfaire la majorité ? Nous allons donc tenter de répondre à ses questions en 2 parties distinctes : 1. Le système fiscal favorise des individus déjà avantagés Création du bouclier fiscal qui profite à 99% aux plus fortunés Revalorisation des prestations sociales en fonction des prix et non des salaires Augmentation de la TVA sur les sodas et autres sucreries que des ménages modestes consomment en majorité
2. Le système fiscal est redistributif Existence du RSA et d’autres impôts en faveur des ménages modestes Création de la CSG (Cotisation Sociale Généralisée) Allocations et bourses d’études
Conclusion : Malgré un effort d’uniformisation via une redistribution