Le séisme du 12 janvier 2010 à Haïti
Le 12 janvier 2010, à 16 heures 53 minutes (heure locale), 21h53 heure Divonnaise, un séisme de magnitude 7 sur l’échelle de Richter survient à Haïti (Amérique centrale), l’épicentre se situait tout près Port-au-Prince. La vulnérabilité de la ville face au désastre était totale. Etant donné la pauvreté du pays, les habitations n’étaient pas de taille à supporter le séisme, voilà pourquoi ce séisme a provoqué tant de dégâts et a été tant diffusé.
On compte environ 230 000 morts, 300 000 blessés, et 1,2 millions de personnes chassés de leur maison sur 9 923 243 habitants (recensement de 2009)
I. Conséquences immédiates et actuelle (2011)
1. Conséquences immédiates
La plupart des habitants n’ont ni abris, ni accès à l’eau potable et à la nourriture et ni accès aux soins qui leur son dans ce cas indispensable. Le pouvoir politique est très affaiblit, presque inexistant. Le chaos règne.
Le Palais national, les différents ministères, la plupart des écoles, ont été détruit. La prison et le Centre des impôts ont également subi des dommages importants, les centres de soins ont pour la plupart été détruit ou endommagé, le siège de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti a lui aussi été en partie détruit; ce siège était l’Hôtel Christopher.
2. Conséquences actuelles (2011)
Un an après la catastrophe, on peut observer très peu d’amélioration en Haïti, mais on a dernièrement vu le développement du choléra, il a déjà tué 800 personnes et touche à présent 10 millions d’habitants. Même si le choléra est une maladie très facile à soigné dans nos pays, les aménagements nécessaire n’ont pas pu être installés en Haïti.
II. Responsabilités humaines
Après la catastrophe, les habitants d’Haïti n’ont pas pu être secourus ; les secours avait eux aussi été complètement affaiblit par le séisme et n’ont pas du tout été de taille à maîtriser