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Lecture analytique de françois villon - ballade des pendus ou épitaphe villon

331 mots 2 pages
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I/ Une lamentation.
A) Déplorer son sort.
• « les pauvres » « de la confrérie » : des êtres condamnés et jugés.
• Peine de la pendaison à venir évoquée
• Décomposition du corps : os -> cendre -> poudre.
B) La peur de la mort
• Le terme « Epitaphe » (l’expliquer) : il s’agit de la stèle sur laquelle est marquée une phrase d’adieu de la personne défunte.
• Période de la peste et de la guerre de 100 ans (1337 à 1457 ?) : nombreux morts.
• L’importance du salut de l’âme et la peur de l’enfer.
C) L’image du transi
• Description très imagée v28 : « plus becquetés que dès à coudre » : réel.
• Forme en alternance : debués, lavés (même sens, renforcement) mais encore (noircis et desséchés, effet de redondance)
• Le mot « transi » apparait au point d’équilibre des trois premières strophes (au 15ieme vers) : mot important d’autant plus que l’image du transi dans la 3ieme strophe est très claire (recherche à faire : des représentations de transi) II/ Une prière
A) L’énonciation
• Le refus du « je », énonciation multiples.
• Les différents « nous » vers 2 et 5 (condamnés) et v7 et v14 le nous s’élargie à hommes.
• Elargissement à toute l’humanité vers 19/20
B) L’Adresse
• En gradation, ça passe de frère humain à frère puis ensuite à tous les hommes.
• Villon parle pour les condamnés mais en vérité, les condamnés sont juste les intermédiaires entre lui et dieu. Il parle à jésus pour qu’il sauve tous les êtres vivants.
C) La présence de Dieu
• Champ lexical de la prière : V4 dieu, merci, V10 priez, absoudre, V3 pitié.
• Refrain accentué par un martellement en dentales de « deuh » et de « teux » : coup de marteau. III/Un sort commun.
A) La strcuture du poème :
• Il s’agit d’une ballade (voir définition pour l’expliquer) les 3 premières strophes sont identiques en taille mais aussi au niveau des mêmes sonorités de rimes d’une strophe à l’autre.
• Des Formes négatives.
B) La nature hostile
• Soleil
• Vent
•

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