monsieur
La renaissance
Bref … !
Cela ce passait en 1917, un matin ou le soleil cessa d’éclairer mes journées, j’étais allonge sur mon matelas et j’y pensais encore et encore, je n’avais même pas pu trouver le sommeil la nuit dernière. Ces questions si nombreuses se bousculaient toutes dans ma tête comme si pour chercher des réponses leurs permettant ainsi de trouver la paix, mais malheureusement ca ne ce produit pas ainsi. Impossible de trouver une tache facile dans ce monde si complique et injuste.
Je contemplais ces murs moisis grisâtres et palpais le matelas plus dure que la pierre et prenais une grande bouffée de cet air en me disant que bientôt je n’aurais plus la chance d’occuper une chambre aussi confortable que celle si ou bien encore que je n’aurais peu être plus la chance d’occuper une chambre a nouveau un jour.
Je me levais et enfilais mes haillons que je commençais déjà à regretter, et je me dirigeais vers la cuisine ou mon dernier petit déjeuner m’attendait. Je saluais ma mère avec un baiser sur le front et nous petit déjeunions en silence tout comme d’autre mâtiné, je voulais savourer chaque bouché qui m’étais donnée et chaque instant passe près de tout ce qui me restait : ma mère. Apres la mort de mon père, son épouse était maintenant a ma charge, car au cours des quelques dernières années de sa vie il m’inculqua comment en prendre soin et m’appris a la respecter et a ne pas lui faire perdre le sourire mais depuis sa mort rien de tout cela ne ce passait elle était au contraire toujours triste et ne me parlais plus, elle avait perdu gout a la vie et sa sante se détériorait, et moi petit egocentrique ne pansais guère a faire le premier pas pour l’aider et ainsi j’étais devenu l’obstacle a la seule et ultime volonté de mon très cher père.
Le repas terminé je débarrassai la table puis prit ma mère dans mes bras : « je vous aime mère » lui dis-je avant de sortir et faire probablement ma dernière balade et une douce