Les contes de fées
Introduction : Aujourd’hui, il est concurrencé par une littérature pour enfants d’un genre nouveau, le conte de fée toujours un attrait pour les enfants, qui ne semblent pas s’en lasser : bien souvent, l’enfant demande qu’on lui raconte, qu’on lui répète la même histoire, qu’il connaît par cœur. Qu’y a-t-il de si dans le conte de fées pour qu’il ait toujours autant de succès ? Bruno Bettelheim, dans La psychanalyse des contes de fées parue en 1976, les diverses qu’on peut faire du conte de fées, en sur l’interprétation psychologique. Dans une étude sur les Contes de Perrault, datée de 1968, Marc Soriano que le merveilleux n’est pas tué par la science, mais qu’au contraire les incertitudes du progrès nous font chercher refuge dans le merveilleux. , M. Robert, dans deux extraits de sa préface aux Contes de Grimm de 1976 les interprétations naturalistes qu’on faisait autrefois des contes de fées, remplacées aujourd’hui par des prenant en compte les étapes de l’existence de l’homme, l’enfance : le conte présente à l’enfant une image de la famille et des événements qui y surviennent.
Ces documents nous invitent à voir dans le conte une œuvre littéraire à part entière, qui est d’un grand intérêt pour la vie psychologique de l’enfant, et qui en outre une explication rassurante du monde, de type mythique.
I. Une œuvre d’art
1. Qualités littéraires
D1-D4
2. Simplicité, forme particulièrement adaptée aux enfants
D1-D4
3. Des interprétations multiples
D1-D3-D4
Transition : ces qualités donnent plus d’impact au message véhiculé par le conte (D1)
II. Un rôle psychologique
1.