Les doctrines politiques
Le nationalisme.
Le mouvement national a deux sources principales et distinctes. La première, c'est la Révolution française qui véhiculait l'idée du « droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ». Cette idée, la Révolution puis et surtout l'Empire napoléonien l'ont propagé partout en Europe par la force des armes.
Le terme nationalisme est né à la fin du XIXe siècle durant l’Empire Napoléonien ainsi que durant la Révolution française qui véhiculait l’idée de « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », ces idées l’on propagé presque partout en Europe par la force des armes. Le nationalisme devient alors un mouvement politique naissant, il affirme la primauté de l’intérêt national, autant sur ses intérêts particuliers que sur ceux des autres nations, le nationalisme est une doctrine qui revendique la prospérité, l’unité ainsi que le droit de former une nation mais c’est la volonté d’un peuple de posséder un territoire national. Pendant longtemps son usage fut très irrégulier et incertain mais il se généralise dans les dernières années du siècle suivant, mais en conservant, dans les habitudes les plus courantes de la langue.
Il existe deux principaux courants hypothétiques : le courant du « nationalisme révolutionnaire » de collaboration athée, prônant un nationalisme européen influencé surtout pas les idées de la nouvelle droite et un courant du « nationalisme contre-révolutionnaire » faisant référence au christianisme, au monarchisme et au nationalisme traditionnel. Le catholisme a alors une place privilégiée dans l’identité de la nation française. Le premier type de nationalisme est évident, facile à appréhender; le second tend le plus souvent à se confondre le patriotisme. On ne peut cependant établir entre eux une stricte ligne de démarcation. Une nouvelle difficulté tient au fait que l’idéologie nationaliste ne s’offre que très exceptionnellement à l’état pur à l’observation de l’historien. Dans le cadre d’un État-nation déjà