Les eleves en difficultes
Les élèves de nos établissements scolaires ont changés, c’est évident. Dans une société elle-même en pleine mutation, l’institution scolaire, a subi le contrecoup des courants multiformes qui ont érodé les anciennes structures socio-familiales.
Pour faire face aux changements , des reformes et des dispositifs d’ aide ont été mis en place, de nouveaux instituts de formation des maîtres ont été crées puis récemment supprimés. Mais le désarroi face au « nouveau peuple scolaire » comme l’ a appelé Jacques Lévine , ne fait qu’augmenter , chez les praticiens de l’ enseignement et de l’éducation comme dans les familles. Parallèlement, le nombre grandissant d’élèves en difficultés et trop souvent en échec ne laisse d’inquiéter.
Depuis, toujours, l’élève qui ne réussit pas, est considéré comme incapable d’être de lui –même un bon élève : soit il n’en a pas la volonté, baisse les bras devant l’effort et se fait accuser de paresse d’indiscipline, soit il ne possède pas les aptitudes requises.
Cela nous a amené à dégager les problématiques suivantes :
Nous essayerons donc de comprendre dans un premier temps, quels sont les causes de l’échec ? Mais aussi qu’elles sont les dispositifs mis en place pour lutter contre cet échec ?
Lors de notre exposé, nous avons évoqué dans une première partie, les causes de l'échec: tout d'abord, une tendance invoque les variables psychiques liées à l’échec Ensuite, une autre approche s’attache à l’influence du milieu familiale et social Et enfin un dernier courant place le fonctionnement du système éducatif comme source principale de l’échec scolaire.
Ayant effectuée mon stage en Cm1 avec Angélique CHAIA, nous traiterons dans une seconde partie, les dispositifs mis en place à l'école