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Les théories de l'ecole classique

2337 mots 10 pages
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Chapitre I

THEORIE : L’ECOLE CLASSIQUE

Les 1ère théories du management : fin XIXème siècle et au tt début du XXème siècle en pleine révolution industrielle
Les fondateurs :
-Frederick Winslow TAYLOR
-Henri FAYOL
-Max WEBER
Les principaux héritiers :
-Alfred SLOAN
-Peter DRUCKER
-Octave GELINIER

I F.W.TAYLOR (1856-1915)

A L’auteur

-D’abord apprenti dans 1 atelier mécanique
-Il devient ouvrier ds la Midvale Steel
-puis chef d’équipe et ingénieur en chef
Il quitte la Midvale Steel pour créer son entreprise
Il devient ensuite consultant en organisation ind. En particulier à la sté Bethlehem steel où il a réalisé des exp. Qui l’ont rendu célèbre
Il connaît l’E comme ds sa poche
Descendant d’1 lignée de pasteur protestant il était obsédé d’efficacité
Il était persuadé qu’il existe des méthodes rationnelles, scientifiques pr accomplir chaque tâche et qu’il appartient à la direction de découvrir ces méthodes et de les enseigner aux ouvriers.

B Les principes

On pt ramener le taylorisme à 4 principes fondamentaux :

-la division verticale du travail cad la séparation du travail de conception confié aux ingénieurs des bureaux des méthodes, du travail d’exécution laissé aux ouvriers.

-la division horizontale du travail : le travail est décomposé en opérations élémentaires appelés taches et affectées d’1 cadence cad 1 tps d’exécution. Ce principe est fondé / 1 analyse détaillée des mvts et des tps d’exécution. Il a été à l’origine des Ouvries Spécialisés et du travail à la chaîne.

-le contrôle systématique : le travail des ouvriers étaient contrôlé av, pdt et ap son execution. Taylor pensait que l’hô avait tendance à tricher lorsqu’il n’est pas surveillé

-le sal individuel au rendement : il est d’autant + élevé que la cadence est élevée. Taylor a introduit le sal différentiel au pièce qui prévoyait 2 tx : 1 sal fixe/pièce produite, 1 sal + élevé si l’ouvrier respecte les normes fixés/le bureau des méthodes. Pr Taylor le sal est le

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    ° Le postulat de départ de Taylor Pour Taylor, l'ouvrier est « fainéant », il préfère « flâner » plutôt que d'augmenter sa cadence de travail car cela ne lui apporterait aucun avantage supplémentaire. Ainsi, par cette pratique, il est difficile pour les employeurs de contrôler sérieusement le temps nécessaire à la production. 2° L'organisation du travail D'après Taylor, il faut organiser le travail autour de trois points : Il faut d'abord maîtriser les temps opératoires.….

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  • Taylor
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    Est-ce que Taylor est encore avec nous ? L’élève arrive à sa ligne d’assemblage à 4 ans. Il passe dans diverses stations que l’on surnomme année et si la station n’a pas réussi le travail spécifique auquel elle a été désignée, on retourne l’élève au début de la station. Difficile de demander à une enseignante de 2e année de reprendre une partie du travail que l’enseignante de 1re n’a pas réussi à faire. Il en est de même pour les industries basées sur le modèle de Taylor.….

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    De plus, cette stratégie permet une chute importante des coûts de main-d'œuvre. Cependant le Taylorisme est une méthode de travail horrible pour les ouvriers. Ils sont forcés a faire les même gestes toute les jours sans réfléchir et au moindre coup de fatigue ou de vieillesse les ouvriers était virer et aussitôt remplacé. Cette méthode était vécue par les ouvriers comme de l’esclavage. Pour trouver autant de main d’œuvre les industries faisaient de la publicité dans les écoles en affichant de grands panneaux montrant les ouvriers travailler avec le sourire et dans de bonnes conditions pour faire rêver les enfants et leur donner….

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  • Le nouveau visage du taylorisme chez pizza hut
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    Contrairement à ce que l'on affirme souvent, le taylorisme ne correspond pas au travail à la chaîne (qui sera développé par Ford). Taylor a permis aux ateliers d'être organisés pour une moindre fatigue de l'ouvrier (la juste journée de travail) mais que ceux-ci sont dans une situation de dépendance, il n'y a aucune place pour l'imprévu. L'organisation scientifique de F.W. Taylor repose schématiquement sur la double division du travail : avec la décomposition des taches et spécialisations (division horizontale)….

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  • Division du travail
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    En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes de division du travail et d’organisation scientifique du travail. La division du travail , paternité donné à Adam Smith. Nous parle sur la « spécialisation du travail permettent l'accélération de la production, l'augmentation des habilités et l’accroissement de la capacité de chacun à innover et améliorer son poste de travail » pag33. Dans le cas de la société d'assurance….

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  • Chabadaba
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    ♦La division excessive du travail, les tâches répétitives, monotones, aliénantes. ♦L’idée que l’individu n’est motivé que par l’argent. Le Taylorisme a eu une grande portée et est devenu une doctrine à travers le monde. Mais, si cette protée a été forte, il y a des postulats du taylorisme qui ont été….

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    Quels sont les points forts et les points faibles du Taylorisme ? -Certes, le Taylorisme a largement contribué à l’augmentation de la productivité dans le monde industriel, il a également mené à la baisse des prix dans le marché et à la hausse des salaires chez les ouvriers mais d’un autre côté cette méthode a aussi ses inconvénients. C’est le revers de la médaille. Nous entamerons donc avec les avantages qu’apporta le système de Taylor à cette époque à différents niveaux, nous passerons après aux limites du taylorisme. Sur le niveau économique on peut citer comme points forts : -Standardisation rentable pour les entreprises qui effectuent des économies d'échelles (qui consiste à augmenter la production dans le but de réduire les coûts unitaires du produit).Ce qui a conduit à la baisse des prix.….

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  • avoisjhuireh oei
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    Le taylorisme doit son nom de son concepteur, l'ingénieur américain Frederick Taylor. Le modèle taylorisme, aujourd’hui profondément remis en cause, correspond au découpage du travail en tâches précises, prescrites et répétitives. Il est le produit d’une société hiérarchisée, et surtout empreinte d’un passé collectif fait d’épreuves hors du commun (les deux guerres mondiales). Les entreprises elles-mêmes s’intéressaient alors d’abord aux résultats collectifs, puisque seule comptait finalement l’augmentation de la production. On doit sans surprise à cette organisation l’apparition de solidarités dans le collectif de travail, qui ont elles-mêmes notamment donné naissance au mutualisme et aux œuvres sociales…….

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    Dans un article du Monde du 4 décembre 1991, Frédéric Lemaître pense au contraire que le taylorisme se porte très bien à l'heure actuelle : -- « Je pense que le taylorisme se porte très bien. Tout le monde est convaincu qu'il faut faire autre chose, surtout depuis les années 68 ou 70, mais, dans les faits, les principes taylorienne restent à l’œuvre dans les entreprises. Il y a certes eu des aménagements, des regroupements de tâches, des groupes autonomes et des cercles de qualité, qui sont autant d'essai de dépassement des principes taylorienne, mais ils ne sont pas cohérents ne saurait constituer une doctrine. Au contraire, le taylorisme est un véritable système conceptuel, qui saisit le travail dans ces différentes dimensions, aussi bien techniques qu'économique ou social. D'une façon pragmatique, le taylorisme atteint même de nouveaux secteurs jusqu'ici protégés.….

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    Taylor avait élaboré cinq grands principes de l’organisation scientifique du travail. Un de ceux-ci était de rechercher la meilleure méthode pour réaliser une tâche. On devait, selon la pensée taylorienne, analyser et décomposer le travail de façon à accroître l’efficacité du travail, en déterminant les temps et les modes opératoires. Chez SEMCO, il en est autrement. En effet, plutôt que de faire des employés de simples automates, ceux-ci sont invités à changer régulièrement d’activité au sein de l’entreprise, et ce, afin de soutenir l’émergence de nouvelles idées (La SEMCO : avec ou sans Ricardo, p. 14).….

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    Thème 2: L'apparition de la gestion moderne question 1-3 p.10 et 1-7 p.11 1) Productivité = Y/facteur de production. Différentes productivité: productivité par tête, horaire, PGF etc.. 2) Principes: - La division verticale du travail : (séparation entre conception et exécution) les ouvriers appliquent les pratiques sélectionnées par le bureau des méthodes - Le salaire au rendement : pour favoriser la productivité et la motivation du personnel les salaires dépendent du nombre de pièces produites 3) Fondements OST: - Parcellisation, c’est-à-dire le découpage du processus de production en tâches élémentaires - Spécialisation.….

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