Les télécomunications dans le developpement d'un pays
Shannon et Weaver définissent l’acte de communication comme suit : le message, envoyé par une source d’information et un émetteur et écrit dans un langage, est acheminé vers un récepteur et un destinataire via des canaux2. Toute communication implique dès lors un émetteur et un destinataire, certes, mais également la nécessité de définir un langage commun aux acteurs impliqués, un mode de communication accessible (techniquement) aux protagonistes et qui permet de garantir une qualité optimale de propagation de l’information.
La Communication Scientifique, nous l’avons vu au cours, sollicite non seulement le fait de communiquer, au sens de Shannon et Weaver, mais également de considérer une multitude de notions liées les unes aux autres par cet objectif de transmettre de l’information scientifique pertinente à différents niveaux de complexité en fonction du public visé: la communication, la science, l’information, la vulgarisation, la culture, la compréhension du public. La qualité de la communication scientifique dépendra donc de facteurs socio-économiques et politiques
(niveau du secteur de recherche et développement, publications scientifiques, niveau d’enseignement, technologie et mode de communication, etc.) ainsi que culturels (tradition de savoir orale, multiethnicité impliquant généralement une multitude de dialectes, etc.)
Les télécommunications sont définies comme la transmission à distance d’informations avec des moyens à base d'électronique et d'informatique. Ce terme a un sens plus large que son acception équivalente officielle « communication électronique ». Elles se distinguent ainsi de la poste qui transmet des informations ou des objets sous forme physique.
conclusion générale dans une société comtemporaine ou l’information est devenue un facteur de production dans une économie de plus en plus modialisée, les télécommunication constituent partout, ou presque , un élément incontournable du mode de vie des populations,