Les énergies renouvelables et l'enjeu environnemental
*accroche:
Le 7 décembre a eu lieu la conférence de Copenhague dont le but était d’établir des plafonds d’émissions de gaz à effets de serre. Cette conférence a succédé au protocole de Kyoto qui a été ouvert à la ratification en 1998 et qui est entré en vigueur en 2005. Il est, à ce jour, ratifié par 172 pays hormis les Etats-Unis.
*définition:
Les gaz à effets de serre désignés par le protocole de Kyoto sont le dioxyde de carbone, le méthane, l’oxyde nitreux, l’hexafluorure de soufre, les hydrofluorocarbures et les per fluorocarbures. Ces gaz entraineraient, un réchauffement climatique, c'est-à-dire une hausse de la température moyenne des océans et de l’atmosphère, à l’échelle mondiale et sur plusieurs années
*problématique:
Nous pouvons donc nous demander si un nouveau mode de production d’énergies, qui impliquerait un développement durable, c’est-à-dire l’utilisation d’énergies qui permettent le développement des générations présentes sans compromettre celui des générations à venir, pourrait régler le problème induit par le réchauffement climatique.
I) Les objectifs
Produire de l‘énergie à bas coût, en protégeant l’environnement et utiliser un mode de production qui ne s’épuisera jamais, tels sont les objectifs qui sont fixés.
Nos sociétés modernes contemporaines sont basées sur un mode de production énergétique non renouvelable, c’est-à-dire qu’un jour ou l’autre, on sera dans l’incapacité d’utiliser ces énergies du fait de leur épuisement. Ainsi, en utilisant ces sources non renouvelables, un jour ou l’autre, on n’aura plus de matériaux producteurs d’énergie.
Depuis les cinq dernières années, un effet négatif du manque de ces énergies s’est fait ressentir, c’est une hausse du prix des hydrocarbures et du charbon. On est donc dans une situation de déséquilibre des prix.
De plus, le mode de production énergétique actuellement plébiscité est peu soucieux de l’environnement, mais avec la prise de conscience croissante de