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Pour en savoir plus, consultez la page Du dessinateur-graveur Jean Bruller à l’écrivain Vercors.
Vercors a longtemps cherché un titre à sa nouvelle ; il se décide enfin pour une image symbolique que le courageux éditeur Oudeville - qui s’est lancé dans cette aventure périlleuse- ne comprend pas : « Moi je dirais plutôt le silence de la nièce ». C’est pourquoi Vercors ajoutera à la fin du récit un commentaire plus explicite : « sous la tranquillité trompeuse de la surface des eaux, [se cache] la mêlée incessante et cruelle des bêtes dans les profondeurs ». Ce récit se présente comme une métaphore de la condition de l’homme face à la guerre qui lui interdit la liberté.