litterature
Il vous faut le cœur et l’âme en partage
Par la vérité des paroles et le mystère des rythmes je lutte
Et je grave mes cris sur les planches
Pour vous j’ai décrypté le secret confus
Pour vous j’ai dévoilé le trésor caché
Et les jours m’en sont témoins
Mais vous êtes sourds à mes chants
Et aveugles aux clins d’œil de la transe.
Les jours passent et la peine augmente
Les jours passent et les soucis abondent
Telle une averse mes larmes coulent
Sur la pierre est gravée ma parole
L’errance est ma destinée
Tu rencontres des enfants nus
Voutés comme des bagnards
Tu rencontres des paysans impatients
Et la patience ne guérit plus
Je dénonce l’emprisonnement arbitraire
L’incroyance et la traîtrise
Sont à combattre avec violence
Les jours passent et la peine augmente
Les jours passent et les soucis abondent
Dans ce monde les tentations sont de tout genre
L’instruit est insensible
Reste sourd aux appels
Attiré par les jeux éphémères
Et les mensonges de la citadelle
Avec des propos hypocrites
Il cultive la discorde
Le voilà à ta merci
Je te le livre il n’est plus bon à rien
Le vice est endémique
De qui tient-on cela ?
Le riche est heureux
Biens des gens il usurpe
Et il y a tant à dire
Les jours passent et la peine augmente
Les jours passent et les soucis abondent
Ne suffisait pas le corps brisé
Vous devez le partage de cœur et l'âme
Comme la vérité des mots et le mystère des rythmes je lutte
Et je brûle mes cris sur scène
Pour vous, j'ai déchiffré le secret de confus
Pour vous j'ai dévoilé le trésor caché
Et le jour où je témoin
Mais vous êtes sourd à mes chansons
Les yeux face des clins d'œil de transe.
Les jours passent et la peine augmente
Les jours passent et les problèmes abondent
Telle une averse mes larmes coulent
Sur la pierre est gravée mes mots
D'errance est mon destin
Vous rencontrez des enfants nus
Voûté comme des forçats
Vous rencontrez les agriculteurs impatients