l. 1 à 3 : * Le nom du village est utilisé pour signifier tous les habitants : donne une impression de cohérence globale, d’unité face à une autre unité : les hommes blancs.* Emploie le nom commun de « story » : amorce la mise en abîme par l’énonciation même de l’histoire, dans l’histoire, à travers le discours direct, marqué par l’incise, elle, dans la narration.* Parallélisme entre l’entente et la vue, qui joue sur la thématique, dans la répétition de la même expression « with my own… ».* Jeu sur le doute, emploi de mécaniques de suspens, avec un effet de nuance : « if », le conditionnel, le rebondissement sur le propos précédent (ce n’est pas le village en entier qui a été tué, car il reste des survivants) ; Obierika se place …afficher plus de contenu…

Un récit dans un récit : le travail d’une mise en abîme. A. Un discours direct qui induit une nouvelle narration. B. Obierika, autant messager que conteur. …afficher plus de contenu…

Le post-colonialisme est un mouvement amorcé par Edward Said dans certains de ses œuvres comme Orientalisme d’Orient vu par l’Occident, qu’il publie en 1978. Le but de ce mouvement est d’étudier, à travers des romans ou des sources écrites, les rapports qu’entretiennent notamment le Moyen-Orient musulman et la Chrétienté occidentale ; c’est peut-être dans cette même mécanique que s’inscrit l’auteur dans son intérêt pour le colonialisme et les problématiques qui en résultent, au niveau humain mais aussi sociétal. Chinua Achebe, auteur nigérien, écrit Things Fall Apart en 1958, qui s’inscrit dans le courant de ses œuvres, et traite de fait de l’impact du colonialisme sur la vie notamment sur le continent africain. Okonkwo est un grand chef de guerre qui est respecté dans les villages que constitue sa patrie, Umuofia, qu’il a hérité de son père. Une grande partie de son œuvre décrit les rites, le mode de vie et les différents événements qui