Lecture analytique n°3 : Les Justes, Acte v, scène de dénouement
Depuis : « Avait-il l’air heureux ? » p.146, jusqu’ à la fin

Introduction à mener comme les premières, mais efforcez vous de rappeler le plus possible les enjeux et les questions posées par la pièce de Camus.
Souvenez vous de l’essentiel : il s’agit d’un dénouement d’un pièce qui ressemble fortement à une tragédie, c’est le récit de la mort de K. donc c’est une scène extrêmement pathétique
Et n’oubliez pas que la problématique qui vous sera posée sera différente de celle que j’adopte ici : rappelez vous-en !

Camus, homme de théâtre + goût pour la politique (voir polycopié Les contextes de l’œuvre)
Les cycles : pièces de l’absurde, avec Caligula et Le Malentendu ; et maintenant le cycle de la révolte, avec L’Etat de siège (échec) et Les Justes en 1949.
Les Justes : - ce qu’en dit Camus dans la petite introduction (n’hésitez pas à en lire qq extraits, pour expliquer que la pièce a une source historique) - la question de CAMUS à travers cette pièce : la légitimité de l’acte violent en politique… Jusqu’où peut-on aller ? Existe-t-il des limites même dans la révolte ?
La situation de notre passage : Nous sommes à l’acte V, et il s’agit de la scène finale de la pièce (expliquer ici les enjeux de la pièce)

La pièce se passe dans un appartement en Russie, où nous assistons à l’organisation d’un attentat par un groupe de terroristes russes épris de liberté et de volonté de vengeance contre l’image de la tyrannie. En proie au doute à cause de l’échec de la première tentative d’attentat contre le Grand-Duc Serge, car des enfants étaient présents, Kaliayev a finalement réussi la seconde fois, et a tué le Grand-Duc. Durant les premiers actes, nous avons pu assister à une pause onirique et amoureuse entre Dora et Kaliayev (juste après l’échec du premier attentat), tous deux tentés un instant par l’égoïsme de l’amour, mais aussi à une scène très douloureuse entre Kaliayev emprisonné et