Le roman, Madame Bovary, écrit par Gustave Flaubert, est trouvé dans le mouvement du réalisme dans le 19e siècle. Flaubert était contre les romantiques modernes. Selon lui, c’était le réel qui est au service de l’art. L’extrait de « La Fête au Château » de Madame Bovary a montré la vie réelle d’une femme malheureuse, Emma, qui n’était pas contente avec sa vie présente. Elle vivait à une ferme avec son mari, Charles, qui était un peu ordinaire mais plus que content avec leur vie ensemble. En étant avec les riches à un bal au château voisin, Emma avait les sentiments de regrette pour sa vie simple avec Charles. Partout cet extrait, les thèmes de ressentiment, de l’absence d’amour et du matérialisme sont présentées par les personnages et leurs gestes. Les thèmes de ressentiment sont vus dans les exclamations d’Emma. Elle se trouvait ennuyée avec Charles et son style ordinaire. Ces sentiments d’Emma étaient surtout clairs au bal quand les deux étaient entourés par le luxe. À ce moment-là, Emma a commencé à rêver d’une autre vie ; une vie d’une richesse. Après ces pensées, elle s’est réintégrée avec son mari qui veut avoir le bonheur avec elle. En le pensant, il lui a demandée de danser. Immédiatement, elle a dit, « Danser ?...Mais tu as perdu la tête ! On se moquerait de toi, reste à ta place. D’ailleurs, c’est plus convenable pour un médecin » (179). Ici, c’était clair qu’elle était gênée par lui et son statut social et qu’elle avait la regrette pour leur mariage. Cette phrase en particulier montrait la tristesse sincère dans Emma pour sa vie simple à la ferme. L’absence d’amour était aussi un thème constant partout l’extrait. C’était évident que Charles aimait Emma avec tout son cœur. La description donnée par le narrateur a confirmée son amour vrai pour sa femme. Mais c’était aussi clair que cet amour n’était pas réciproque. Comme Charles commençait à toucher Emma sur l’épaule, elle a vite répondu, « Laisse-moi ! Tu me chiffonnes » (179). Si leur amour avait