Madame de staël
Tout d’abord, Madame de Staël montre à la fois la supériorité et l’infériorité de l’homme face à la société. Premièrement, l’homme est définit comme étant le supérieur, le « maître du monde », de part son pouvoir politique absolu, les femmes n’accédants pas encore à ce statut. En effet, l’homme a toujours été décrit comme étant fort, puissant, robuste… Ils sont appeler à toutes les missions militaires, et autres besoin civils qu’impose le système du XVIIIème siècle (« Les hommes sont appelés par les instituions politiques à exercer toutes vertus militaire ou civiles qu’inspire l’amour de la patrie »). Mais derrière l’homme ayant le monde entre ses mains, se cache une infériorité face à la femme. En effet, l’homme adopte un point de vue « horrible » sur la femme, la méprisant, et l’écartant de toutes décisions sur un pays. Comme y est écrit ligne 23, l’homme, s’il ne se sent pas tout contrôler, peut et souvent va dérailler, ne se sentant pas maître de la situation, comme à son habitude. L’homme ne se contente alors que de simples activités sans aucunes utilités vraiment définies et se consacre alors à l’oisiveté « L’âme devient de la rudesse, et le jour se passe dans des exercices et des amusements vulgaires ». La femme est alors remise en avant, laissant l’homme derrière elle.
La vie d’une femme n’est et ne sera jamais