Madamoiselle
Calixthe Beyala : C’est le Soleil qui m’a Brûlée, pages 128-153
Dans la dernière section du livre, on commence avec Ateba qui est allée chez l’homme de la fête. L’homme parlait à Ateba avec des mots charmants, mais quand elle a essayé de partir, il ne l’a laissé pas quitté sans lui donner plaisir. Ateba a accompagnée Irène chez le gynécologue pour son abortion. Irène avait vraiment peur, et Ateba attendait en dehors de la porte tout au long de la procédure. La procédure n’est pas allée bien. Ateba a accompagné Irène chez elle et s’inquiétait toute la nuit pour la sécurité d’Irène. Irène saignait beaucoup, et Ateba a pris sa main et l’a rassuré qu’elle survivra. La mère d’Irène est entrée et a dite à Ateba de ne pas s’inquiéter, et que elle s’occupera d’elle. Ateba a vraiment besoin de reposer. Peu après minuit, Ateba est réveillée des cris. Elle s’est habillée et couru vers la maison d’Irène. Quand elle est arrivée, elle a vu Irène qui posait sur son lit, inerte, sans vie. Ateba lamentait beaucoup la mort d’Irène. Ateba est entrée dans un bâtiment avec des lourdes portes rouges. Elle a pensé qu’elle a vue Irène danser. Un homme l’a approché, et l’a demandé combien elle coutait. Elle a dite cinq mille francs. L’homme l’a aimé, mais après ne l’a pas laissé partir. Elle lui a tué pour venger la mort d’Irène. J’avais beaucoup de misère à comprendre ce qui passait après de ce point. Est-ce que Iréne était là, ou non, ou est-ce que Ateba est morte aussi? Le rôle du narrateur s’achevait, mais qui est-ce que le narrateur était vraiment? Peut-être simplement l’âme d’Ateba? Pourquoi est-ce qu’il ou elle voulait se marier avec Ateba? Peut-être que c’est un mariage métaphorique. C’est une terminaison embrouiller pour moi.