Maria chapdeleine
Écrivain français du 19e siècle, Louis Hémon s'installe au Québec à la campagne de Péribonka, là où il a perçu tout les allures de la vie selon l'époque du terroir. Son oeuvre
Maria Chapdeleine apparût en 1916, décrit les grandes caractéristiques de ce temps. En effet, la valorisation des terres, l'importance de la religion ainsi que le dur travail de l'agriculture sont des attributs dominants dans cet oeuvre. Dans l'extrait du chapitre 15, le personnage de Maria entend des voix qui ont pour but de la convaincre qu'il est de son devoir de rester au pays. Le message général et les arguments que dictent les voix valorisent-ils la vie à la campagne? Pour mieux comprendre ce questionnement, il est important de situer les bienfaits de cette vie, de différencier l'unicité du pays ainsi que de discerner les devoirs de persister à celui-ci.
1ere idée principale: Tout d'abord, la première voix fait part des avantages de la vie à la campagne.
a)En effet, l'auteur émet des caractéristiques valorisantes du milieu rural:
« L'apparition quasi miraculeuse de la terre au printemps après les longs mois d'hiver.» (p.236, l. 371)
Dans l'extrait, Louis Hémon décrit de façon gratifiante la beauté des passages des saisons de façon élaborée. Tout au long, on y décrit les merveilleux côtés de la nature, son évolution par rapport au temps de l'année ainsi que la faune: «neige»(p.236,l.372), «ruisselets»(p.236,l.373),«racines»(p.236,l.374),«mousse»(p.236,l.374),«bétail»(p.237,l.383), « volailles »(p.237,l.385), etc. Ceci nous démontre clairement que cette voix préconise la flore et la faune qui sont présentent à la campagne et veut faire réaliser à Maria qu'elle ne pourrait retrouver ces merveilles à la vie urbaine.
b)De plus, cette voix veut lui démontrer les principaux désavantages de la vie à la grande ville: « Mais peut-être se lassait-on de ce vertige à la longue, et les soirs où l'on ne désirait rien que les repos et