Maria chapedelaine
Il ne fait pas de doute que la forêt représente des caractères hostiles. En effet, l’auteur peint cette dernière de manière défavorable. Notamment, il est décrit que « [l]es arbres verts étaient rares : de jeunes bouleaux, quelques trembles, des taillis d’aulnes agitaient leur feuillage au milieu de la colonnade des troncs dépouillés et noircis. »(p. 69, l. 10-13) Ici, le manque d’arbres et les troncs sombres donnent un portrait qui laisse place à des interprétations péjoratives. De plus, un champ lexical est utilisé pour représenter le manque de vie : « tombés » (p.68, l. 16) ; « bouleau mort » (p.69, l. 18) ; « les brûlés » (p.67, l. 28) « mourir » (p.68, l. 22). Par la suite, une ambiance menaçante semble régner, particulièrement provoqué par la présence d’insectes. D’une part, en plus de l’encombrement des maringouins, d’autres indésirables bestioles