Marion de lorme, questionnaire

1786 mots 8 pages
MA Jeudi novembre 2009 Marion 1ère ES 1 QUESTIONNAIRE DE FRANÇAIS : Marion de Lorme De Victor Hugo Acte I) Dans la scène d’exposition, on apprend que le marquis de Saverny et Marion de Lorme était intimes et qu’ils se sont disputés par la suite. Saverny veut donc se réconcilier avec cette dernière. Il lui reproche alors son départ précipité de Paris, en effet la scène se situe à Blois. Marion a beaucoup de prétendants et le marquis veut savoir avec lequel elle s’entend le mieux : « l’heureux berger qui nous succède à tous » (v.48). Après qu’elle lui dise qu’il s’appelle Didier, il lui donne un livre intitulé La Guirlande d’Amour. Puis elle le congédie. La deuxième tirade de Didier a lieu dans le registre pathétique. On peut l’affirmer quand il dit à Marion : « Je n’ai jamais connu mon père ni ma mère » (v.67) ou encore « Une femme vielle […], ayant pitié dans l’âme […], fut ma nourrice ». et cela dure tout le long de la tirade :la nourrice mourut ; il fut « seul à vingt ans » et sa vie « amère et triste » (v.114) ; il « méprisa » les hommes. Le champ lexical de la pitié est bien présent : « haine, mépris, orgueil, misère, peine, miroir terni, vieux, mal, pauvre, sombre, isolé, meurt, sang ». Didier veut attendrir Marion. Il lui expose les souffrances qu’il a vécu (v.107 à 123) et ensuite ses sentiments pour elle « enfin troublé d’amour » (v.124 à la fin de la tirade). Il veut la convaincre qu’il lui est entièrement dévoué « parlez, ordonnez, me voici » (v.139). A la fin de la scène 2, Didier entend une voix dans la rue qui crie « A l’aide, au meurtre ! ». Il accourt au secours de la personne en sautant par-dessus le balcon. Il crie qu’on « Arrête ! » aux six personnes qui sont ses adversaires (v.200) Acte II) Que réponds Gassé… Villac et Mompesat ne sont pas d’accord sur le

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