C’est en ce jeudi 22 mars que je me suis rendue au festival, accompagnée de mes amis. Arrivée à l’intérieur, j’ai tout de suite été fascinée par cet immense espace aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Le concert a commencé au alentour de 20 heures, nombreux étaient ces artistes, au total 13 groupes y étaient présents. C’est une signification…
J’ai aimé me laisser emporter par la musique du groupe BLACK BAZAR, ravivant les sources de la rumba congolaise. C’est un genre de musique plutôt afro-cubaine la mêlant à des boîtes à rythmes, des machines et autres sons digitaux.
J’ai remarqué qu’il y avait plusieurs générations de personnes comme quoi la musique est accessible à tous. Il y avait une convivialité qui s’y dégagée, dans les couloirs on pouvait apercevoir et surtout entendre des chanteurs et musiciens avec leurs trompettes. On s’imprégnait de leur musique tout en tapant des mains. Et je voyais ces personnes heureuses d’être la, ils dansaient, chantaient et ne pensaient plus à rien. La musique est un enivrant parfum auquel on y prend goût.

C’est en ce jeudi 22 mars que je me suis rendue au festival, accompagnée de mes amis. Arrivée à l’intérieur, j’ai tout de suite été fascinée par cet immense espace aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Le concert a commencé au alentour de 20 heures, nombreux étaient ces artistes, au total 13 groupes y étaient présents. C’est une signification…
J’ai aimé me laisser emporter par la musique du groupe BLACK BAZAR, ravivant les sources de la rumba congolaise. C’est un genre de musique plutôt afro-cubaine la mêlant à des boîtes à rythmes, des machines et autres sons digitaux.
J’ai remarqué qu’il y avait plusieurs générations de personnes comme quoi la musique est accessible à tous. Il y avait une convivialité qui s’y dégagée, dans les couloirs on pouvait apercevoir et surtout entendre des chanteurs et musiciens avec leurs trompettes. On s’imprégnait de leur musique tout en tapant des mains. Et je voyais ces