Neolibéralisme sociologie
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LE NÉOLIBÉRALISME À la suite d’une révolution ayant lieu dans un pays, la nation peut se diviser en deux. Une partie des citoyens sont content des changements produits. Une autre partie des citoyens sont en mécontentement et critique. C’est ce qui est arrivé au Québec pendant la deuxième moitié du 20e siècle. Pendant la Révolution tranquille, tout semblait bien aller. Le gouvernement a ouvert des centaines de polyvalentes, des dizaines de cégeps, quelques universités et j’en passe. Cela est un exemple des changements dans le domaine de l’éducation, car il y en a eu plusieurs sur plusieurs niveaux. Malgré tout cela, 20 ans après le début de la Révolution tranquille, c’est-à-dire au début des années 1980, il commence à avoir une critique du néolibéralisme instauré au Québec. Cette critique pointe les inégalités sociales crée depuis 1960. Dans ce rapport sera expliqué le contexte sociohistorique de l’époque, les deux théories sociologiques pour expliquer les inégalités sociales et l’explication de la pauvreté selon Pierre Bourdieu.
La critique de la modernité
Le contexte sociohistorique des années 80 Au début de cette époque, l’étatisation est remise en question. On se demande si le fait d’avoir pris des industries privées et de les acheter pour qu’elles deviennent la propriété du gouvernement est une bonne chose. Dans la critique de cela, 3 thèmes sont abordés : la bureaucratie, l’accroissement de la pauvreté et des inégalités sociales et la dette. Commençons par la bureaucratie. Dans les pays de l’ouest, «la dédale de la bureaucratie de l’État amène les citoyens et les employés à se sentir dépossédés de leur individualité ». Le citoyen se sent anonyme, sans identité individuelle et même qu’il se sent comme un chiffre à certaines reprises. Ensuite, il y a de plus en plus d’inégalités sociales et pauvreté. Les hommes et les femmes, les riches et les pauvres, les minorités visibles, les jeunes et les vieux, les éduquées et les non-éduquées, les