Nima
Sujet : La conscience suffit-elle à faire de nous des sujets ?
Dans l’état actuel des connaissances, les zoologues considèrent que les animaux n‘ont pas la perception de leur mort futur. Difficile, dans ces conditions, d’imaginer qu’un animal puisse exécuter sciemment une action précise en projetant dans l’avenir la conséquence néfaste de son acte. Le suicide des animaux relève de la pure légende, elle prit corps dans l’observation erronée de multiples disparition massives qui furent interpréter comme des suicides collectifs. Prenons l’exemple du lemming, un petit rongeur des régions boréales voisin du campagnol. D’aucuns ont propagé que ces mammifères commettent des suicides collectifs parce qu’ils se jettent a la mer. Mais s’il ya une surpopulation flagrante de lemmings dans un espaces donné, le rongeur se rassembles instinctivement en groupes de nomades pour aller peupler d’autres territoires. Et dès qu’ils rencontrent un lac ou une rivière, ces nomades franchissent la rive sans dommage. Ils rejoignent l’autre rive en nageant. Lorsqu’ils atteignent un bord de mer la réaction est a même sauf que les lemmings s’épuisent et meurent de noyade et d’épuisement par centaines. Donc en aucun cas un animal n’a la conscience (du latin conscientia, connaissance) de soi (le cogito du latin, verbe signifiant « je suis ») donc de leur mort futur. Ce qui nous oppose aux animaux.
Maintenant il nous faut démontrer si la conscience est le seul facteur pour faire de nous des sujets, nous différencier des animaux. Est-ce que le cogito est vraiment le propre de l’homme ? Ceci nous démontrera bien que la connaissance de soi fait de nous des être capable d’etre responsable d’un acte délibéré. Qui a pour but de prouver qu’on existe. On a entièrement conscience de notre existence (le « je » transcendantal kantien). Est-ce que l’intuition qu’a l’esprit de lui-même, des objets qui s’offre à