Northern ireland conflicts
V.Lavigne
La dictature, par exemple, est encore présente dans de nombreux pays est l'utilisation de la force physique et mentale afin de gérer un pays. Cette forme de régime est contraire aux droits de l'homme dans la mesure où les droits d’un seul homme prévalent sur ceux d’un peuple.
une tendance à n'écouter que ses intérêts immédiats, qui peuvent être contraires à ceux de la collectivité. La définition de la loi sous-entend ainsi l'éventualité de sa transgression.
Une telle transgression met en danger l'édifice social dans sa totalité. Elle signifie que l'irrespect de la loi peut se répandre de proche en proche si rien ne vient le contrôler.
Aussi le droit a-t-il besoin de s'accompagner d'une force (préventive, qui avertit ; et répressive, qui punit lorsqu'il le faut) qui oblige à le respecter, et soit capable de sanctionner les écarts relatifs à la loi. Dans cette optique, il apparaît donc que la force vient se mettre au service du droit. Par exemple, les forces de l'ordre sont des éléments indispensables au bon fonctionnement d’un état. Les policiers et les gendarmes notamment ont une fonction de prévention et de répression, de même que les CRS qui ont pour but de réprimer les manifestations. Tout ceci étant dicté par la loi, la coercition est donc prévue par le droit afin de faire régner l’ordre dans une société. Ainsi, comme le souligne Pascal dans Les Pensées :"La justice sans la force est impuissante" et l'absence de respect des lois voire l'inexistence de lois mène à l'anarchie. L'usage de la force semble donc nécessaire au maintien de l'ordre ainsi qu'au respect des lois et des droits.
Dans le code de procédure pénale, il est dit que la légitime défense est autorisée (article 122-5) autrement dit, l'utilisation de la force n'est pas réprimandable si on s'en sert pour se défendre. Il faut que l’attaque soit injustifiée, actuelle et réelle, qu’elle menace l’intégrité physique et donc que la réponse soit simultanée,