1. Projet est de se consacrer aux « opréations des usagers » que l’on considère à tort comme voués à la passivité. 2. Thème vague car impensé (théorie et des méthodes) 3. Déf de la pratique comme manières de faire quotidiennes 4. L’examen de ces pratiques n’entrainent pas selon lui un retour à l’individu (parle du postulat d’atomisme social qui considère que l’on peut toujours ramener une question sociale aux individus qui composent les groupes) a. « l’analyse montre que la relation détermine ses termes » b. et que « chaque individualité est le lieu où joue une pluralité incohérente (et souvent contradictoire) de ses déterminations relationnelles » c. la question traitée concerne des modes d’opérations ou des schémas d’action et non le sujet qui en est l’auteur 5. « ce travail a donc pour objectif d’expliciter les combinatoires d’opérations qui composent aussi (ce n’est pas exclusif) une culture, et d’exhumer les modèles d’action caractéristiques des usagers dont on cache, sous le nom pudique de consommateurs, le statut de dominés ( ce qui ne veut pas dire passifs ou dociles). Le quotidien s’invente avec mille façon de braconner »

1.La production des consommateurs

l’usage ou la consommation

1. on s’intéresse aux représentations ou aux comportements d’une société en général. 2. On s’intéresse ici à l’usage qui en est fait par des groupes ou des individus. a. Exemple : l’analyse des images diffusées par la tv (représentations) et des temps de stationnement (comportements) doit être complétée par l’étude de ce que le consommateur culturel fabrique pendant ces heures et ces images (idem pour les produits achetés en supermarché) b. La fabrication est une production mais cachée. 3. « a une production rationalisée, expansionniste autant que centralisée, bruyante est spectaculaire correspond une autre production, qualifiée de consommation : celle-ci est rusée, elle est dispersée, mais elle s’insinue