Notes sur le comportement développement durable de la clientèle
Etude réalisée pour General Electric par TNS Sofres, 2010.
Le concept de « ville durable » bénéficie d’un a priori favorable puisque 96% d’entre eux déclarent que ce terme évoque une notion positive, dont 37% de jugements très positifs. La notoriété de ce concept est très élevé puisque 82% des élus interrogés déclarent en avoir à entendu parler, avec toutefois une légère réserve : ils ne sont que 32% à savoir précisément ce dont il s’agit (manque de familiarité avec la notion).
Lorsqu’il s’agit de définir la ville durable, les élus se focalisent spontanément sur les questions environnementales (72%), avec de nombreuses mentions relatives à la dimension énergétique (pour 52% des personnes interrogées, il s’agit d’une ville qui favorise les économies d’énergie, l’utilisation des énergies renouvelables, etc.), aux transports et déplacements (30%), à la pollution, à la gestion des déchets (19%) et à celle de l’eau (12%). Les élus évoquent bien moins massivement les sphères sociales et culturelles (22%). Quant aux questions relatives au développement économique et à l’emploi, elles ne sont mentionnées que de façon très marginale.
Recueil de ressentis vis-à-vis de cette clientèle auprès des entités.
Une clientèle dont le principal intérêt est le prix (à 90% ou plus).
Intérêts mineurs : qualité, sécurité, environnement.
Une clientèle surtout publique mais aussi privée : rapport de l’ordre de 80/20 %. Charier TP 56 aimerait développer le privé et d’autres entités pensent qu’il serait bien d’avoir des équipes spécialisées dans le particulier (avec chefs d’équipe et conducteur de travaux très exigeants pour une clientèle plutôt exigeante mais aussi