2de 3 Lundi 2 dcembre 2013 Rcit Raliste Comment commencer cette lettre, je nen sais trop rien tellement de choses se sont passes dernirement. Oui vraiment je ne sais pas par quoi ni par o commencer. Pourquoi pas par le commencement aprs tout Je me souviens du dbut de cette histoire comme si ctait hier. En y rflchissant bien cela ne fait pas si lointain mais cela me semble tre une ternit Enfin bref je mgare Cette histoire a commenc il y a de cela deux mois lorsque un homme, un vieil ami de la famille, tait pass chez mes parents un soir, dans notre petit appartement de Lyon compos uniquement de quatre pices avec des murs dun vieux jaune tirant au vert cause du temps. Cet appartement, bien que ridiculement petit, faisait la fiert de mon pre qui avait mis des annes pour se le payer. Mais, pour moi qui avait pass la majeure partie de ma vie ici, ctait surtout un sujet de honte. Entre le mur branlant dont la peinture seffritait chaque fois quon la touchait et lhorrible carrelage de la salle de bain, jamais je naurais os amener un ami ici. Bonsoir tout le monde clama cet homme, rdacteur dun grand journal et vieil ami de mon pre qui passait le voir ds quil en avait loccasion. Cet homme avait toujours t un sujet dadmiration pour moi. Le magnifique costume de marque quil portait chaque fois, son lger embonpoint et ses mains qui contrairement aux ntres ntaient pas couvertes de cicatrices me permettaient de penser que contrairement nous il navait pas d avoir une vie trs complique. John, mon ami dit mon pre que fais-tu ici Je passais te saluer. Je souhaiterai aussi mentretenir avec ton fils. Jai peut-tre un service lui demander, une sorte de proposition lui faire Un service moi demandais-je tonn. Et John se mit nous raconter son problme. Avec la cration rcente par le gouvernement des contrats de gnration, les actionnaires de son journal ne cessaient de lui reprocher de ne pas profiter de largent