oral de victor hugo
SUJET AMENÉ : En septembre et octobre dernier, il y a eu des manifestations à Hong Kong. Les manifestants s’opposent au gouvernement chinois et à son projet de limiter suffrage universel qui veut dire qu’il cherche a abolir la loi qui dit que chaque vote est égale à une personne pour l’élection d’un membre important du gouvernement. En d’autre mot, le gouvernement cherche à contrôler la population et le nombre de vote. Cette manifestation est plus connue sous le nom de la révolution des parapluies parce que les membres se protéger des gaz lacrymogènes que les autorités utilisaient des parapluies pour se protéger pour les maitriser. En fait, la Chine est un pays qui protège sa réputation et cette manifestation représente un danger, même une menace à l’image du pays. Les manifestions ont prit tellement de place que les autorités ont bloqué l’accès de plusieurs réseaux sociaux, notamment Instagram (site de partage de photo qui décrivent une situation quelconque) afin que le monde extérieur n’est pas accès aux images perturbantes que projette les manifestations. Le gouvernement craint les répercussions que pourraient avoir le partage d’images. La propagation d’images pourrait créer des remous qui viendraient chercher la prise de position de plusieurs journalistes qui pourraient écrire des articles et nuiront à l’image du pays.
MON OPINION : L’acte d’écriture peut représenter une menace sous plusieurs angles. Premièrement, le gouvernement canadien, tout comme le reste de la planète se retrouve avec un problème d’envergure depuis plusieurs années. La technologie a permis un phénomène de cyber-intimidation qui ne cesse de prendre de l’expansion. La cyber-intimidation est un couteau à double tranchant. D’un côté, c’est dangereux pour la victime qui reçoit les messages de menace de l’intimidateur. Et de l’autre l’intimidateur qui écrit les messages peut se faire lourdement sanctionner. Donc le