p_tesson
Certes, ces trois textes évoque la grandeur, la connaissance, la puissance de l'Homme, en nous montrant.. → … la maîtrise de l'espace maritime ( v66 et 67 de Médée → voix passive, montrant la domination de l'homme) → … l'Homme « grand » par rapport à la nature, sous un regard habituel de la nature ( l 37 de « Pensée » → « un tout à l'égare du néant » → … la conquête, la connais de l'espace : signe inévitable. (l 5 → énumération d'action conquérante / rythme ternaire)
Mais, cette envie de conquête, de domination, peut se transformer en un orgueil, en démesure, en un aveuglement de l'Homme, lui donnant un regard irréel de ca grandeur (l 44-45 de « Pensée »), pouvant ce transformer en un désespoir (41 de « Pensée »)
D'où, on retrouve un danger, un châtiment, que l'homme subit en voulant surpasser, dominer la nature, et entre autre dans « Médée » où malgré le fait que l'Homme est réussi à traverser les mers, et qu'il est surpassé ses connaissance, il est châtié, par le fait de ramener « Médée » sur la terre des Hommes, « Médée » qui devient peu a peu un danger, comme si les Hommes avait dépassés les limites et que les divinités n'en était pas contente. Signe que les Hommes, malgré leur audace et leur évolution préciser dans les vers 22 à 27, n'ont aucun pouvoirs, aucun pouvoir sur la nature puisque malgré cette découverte, tout n'est pas découvert, et tout ne sera jamais découvert, argument justifié par la métaphore final « Au-delà de l'Islande il y aura d'autres terres », signifiant