pamela
i) Une quête commune a tous leshommes: plaisir et bonheur: ces deux mots, même s’ils evoquent une situation agreable, sont differents. On peux être malheureux alors qu’on eprouve un grand plaisir à boire un verre d’eau. MaxScheler écrit: “je peux joyeusement endurer une douleur et savourer sans joie le bouquet d’un vin.” Plaisir et Bonheur doivent donc être distingués Nos plaisirs sont une sentation éprouvée dans lasatisfaction d’une tendance biologiques. Ils sont multiples et hétérogènes mais aussi limitées. Le bonheur au contraire est un état de total satisfaction qui peux être vue comme inaccessible. Nos semblablesont tous pour être heureux et ne le sont pas toujours!
Nous pouvons définir notre bonheur car notre vision du bonheur ne vaut que pour moi. Il n’est pas au-delà de toutes définition mais plutôt detoutes descriptions. De même que le triangle (ni isocèle, ni rectangle, ni grand /petit), le bonheur ne peux être décris. Mais puisqu’il est un rapport harmonieux que j’ai avec les choses, on peuxpréciser la nature de cette harmonie. Kant explique qu’elle déroule d’une coïcidence entre ce qui m’arrive et ce que je souhaite: “le bonheur es l’état dans le monde d’un être raisonnableà qui tout arrive,dans le cours de son existence, suivant son souhait et sa volonte” (critique de la raison pratique). Mais tous les facteurs qui entre dans cette harmonie sont trop nombreux pour que je puisse formerun concept determiné de mon