Philosophie kantienne
Tout d’abord, cette problématique me touche grandement, puisqu’elle vient atteindre mes valeurs personnelles. Je sais que je devrai faire un choix qui, en réponses à mes jugements, risquera de perturbé la vie de mon patient. Je pourrais tenir parole à ma mission en tant que médecin ou respecter les valeurs du patient décédé. Je devrai, sans aucun doute, trahir une de mes valeurs personnelles et vivre avec les remords de conscience. En effet, si je respecte mon devoir en tant que médecin et prend la décision de transplanter le cœur au jeune garçon, je trahi à la demande du patient décédé et vient contre mes valeurs de respecter décision des autres. Même si c’est une personne décédé, il mérite tout de même le respect face à ses décisions. Cette décision m’amènerait à trahir la valeur morale de confiance que nous accordent les patients avec les choix qu’ils prennent en lien avec leur corps. D’un autre côté, je pourrais prendre la décision de