Philosophie

1081 mots 5 pages
Philosophie

A travers son texte, l’auteur exprime son opinion sur l’acte de « manger ». Il définie cet acte par une évasion de l’esprit dût à un plaisir gustatif et convivial. Il est souvent la cause d’un besoin psychologique et physionomique.
L’auteur démontre sa thèse par des situations courantes de la vie, des sentiments qui nous emparent lors d’un repas, du comportement humain psychologique face à la nourriture, des comparaisons avec les animaux.

Ce que l’auteur veut nous dire dans la dernière phrase du texte est que tous les échanges humains se traitent à table : Les sentiments d’amour en déclarant sa flamme autour d’un repas est par ailleurs un moment propice par exemple, d’amitié en renouant ou fortifiant des liens, de joie, de peines, nos ambitions, nos désirs…Les affaires sont aussi traitées à table, d’ailleurs pratiquement toutes les affaires se concluent au moment du repas. Les sentiments semblent être plus intenses dès lors que nous sommes autour d’une table, car nous sommes là tous réunis, face à face, alors nous les partageons et même si nous ne nous exprimons pas, les regards, les gestes sont là, alors tout de suite l’émotion s’amplifie. Donc le repas est un moment de partage car tout sentiment confondu est échangé lors de celui-ci.

Manger est t’il un acte naturel ?
De façon général manger est un acte naturel, la sensation de faim est innée chez les spécimens vivants. C’est aussi un plaisir gustatif et moral. La faim est source d’un besoin qui se satisfait, il est à la fois vital de se nourrir. Nous aborderons dans un premier temps que manger est un acte naturel avec les sensations face à cet acte qui nous procure du plaisir et le comportement psychologique de l’être vivant face au besoin de se nourrir, et pour terminer est-ce-que manger est un phénomène de culture ?

Tout d’abord manger est une sensation actuelle. L’être humain se nourrit par nécessité c’est un besoin physionomique et psychologique. C’est une activité biologiques

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