Analyse d’une douvelle de l’actualité

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Taxe et subvention pour lutter contre l’obésité
Pour débuter, je vais faire un résumé de mon article que j’ai utilisé pour mon travail. Suite à un congrès, qui s’est tenu à la fin du mois de septembre et qui réunissait des professionnels et des spécialistes de la santé cardiovasculaire du Canada. Les chercheurs ont suggérées des mesures pour lutter contre l’épidémie d’obésité qui s’abat sur notre pays. La première de ses actions consisterait à taxer les boissons sucrées ce qui engloberait les thés glacés, les jus sucrés, les boissons gazeuses et énergisante. Ses produits sont visés car ils ont aucunes valeurs nutritives et qu’ils sont plus facile à cerner que le reste de la malbouffe. Les experts ont estimés pour un maximum d’effet et pour que les gens réduisent leur consommation de ses produit, qu’ils devraient être taxés à au moins 20% de leur prix de vente. Malgré que ses produits ne fassent pas directement maigrir, la baisse de leurs consommations aurait des effets positifs sur le bilan de santé en général. La deuxième action abordée lors de cette rencontre portait sur les subventions que le gouvernement pourrait donner aux gens plus démunis pour l’achat de fruit et légumes. Cette mesure aiderait également à freiner la prise de poids des Canadiens. L’argent de ses subventions, selon l’article, pourrait venir en partie des revenues de la taxe sur les boissons sucrées.
La santé fait partit des valeurs fondamentales et c’est sur ce principe que le gouvernement pourrait se baser pour instaurer des lois qui leur permettrait de taxer la malbouffe. Selon moi, s’il faut que le gouvernement entame de tel procédure pour diminuer l’obésité chez les canadiens, c’est que la population n’est pas capable par elle-même de faire la part des choses entre ce qui est bon pour leur santé et ce qui est mauvais. L’état de droit, situation sociale ou un système légal régit la vie des