Philosophie

1245 mots 5 pages
I. La conscience me permet-elle de me connaître ?

La conscience de soi comme connaissance intuitive de soi.
Descartes, Discours de la méthode, 1637, quatrième partie.
Descartes, est le premier a avoir réfléchi sur la conscience. Il est déçu de l'enseignement ou il appris « Flèche de la Touraine ».
Il refonde alors le savoir, cherche la vérité en doutant de tout, il faut pour lui décrire tout le faux pour construire de solide.
Il doute des sens, pense que les apparences sont trompeuse, critique les sens, l'opinion.
Descartes ne fait confiance qu'aux mathématiques : « Je me plaisais surtout aux mathématique a cause de la certitude et évidence de la raison »
Il voit que des personne de trompe en mathématique, alors il doute des mathématique, puis il doute de tout même de son corps.
Doute cartésien : « Je doute de tout mais je ne peux pas douté que je pense »
« Je me défini par la pensé » ; « La conscience est une chose par laquelle je suis ce que je suis »
La pensé c'est la conscience. Tout ce qui se passe en nous est relier à la pensé.
Pour Descartes on est toujours conscient : « L'âme est plus aisée a connaître que le corps » car le corps est le domaine de désir, passion, pulsion et l'âme est le domaine de la raison. La conscience est un rapport a soi.
Descartes critique Freud et Liebniz.

II. Est ce que je suis conscient de toutes mes pensées ? 1) Leibniz, Nouveaux essais sur l'entendement humain, 1704

La thèse des « petites perceptions ».
Il y a t il des phénomènes en moi qui ne sont pas saisi par la conscience ?
Toutes nos perceptions sont elles conscientes ?
Dans les nouveaux essais de Liebniz : « il y a une infinité de perception en nous dont nous ne nous apercevons pas ».
Il y a des perceptions qui ne sont pas saisi par la conscience. L'endormissement et le reveil sont des passages insensible et passant d'un état a un autre. « C'est une source d'erreur de croire qu'il n'y a aucune perception dans l'âme que celle dont on

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