Sujet => Objet : tout le monde a un objet dans la conscience
Sujet => Sujet : on peut remplacer l’objet par le sujet si l’on pense à la personne en la voyant, on la voit en tant que sujet et non en tant qu’objet. Autrui pas égale aux autres => personnes, individus avec lesquels on a pas d’interaction. Le prochain (bible), quelqu’un qui nous entoure, avec qui l’on interagit (proximité)

a) Descartes : le solipsisme (seul moi existe et les autres n’existent pas réellement, ils font partie de mon imagination). Il dit que les autres ne sont qu’une image et ne sont pas réels. « Les gens sont comme moi qui pensent aussi » Donc autrui existe surement b) Husserl, dépassement du solipsisme => l’intersubjectivité = nous sommes dans un monde marqué par les humains. L’autre est important pour que je puisse exister et me connaître, on se connaît « grâce » aux jugements que les autres ont sur nous.
Conflit des consciences – Reconnaissance d’autrui : 1. Hegel (1770-1831) : « la dialectique du maître et de l’esclave» (ils sont dépendants l’un de l’autre car le maître n’est pas s’il n’a pas d’esclaves et vice-versa = complémentarité)
Chaque consciences va tenter de dominer l’autre par s’affirmer : c’est la lutte pour la reconnaissances. 2. Sartres (1905-1990) : « l’enfer c’est les autres », l’enfer n’est pas un monde de torture physique mais psychique, où on nous confronte à d’autre consciences opposées par nature. On est rien si l’autre ne nous reconnaît pas en temps que quelqu’un. L’autre = liberté posée en face de moi. C’est l’autre qui décide comment il veut nous voir et que l’ont est. Il est libre de penser ce qu’il veut de nous, on ne peut pas forcer quelqu’un à changer d’avis.
Communication et connaissances :
La connaissance d’autrui n’est jamais entière parce qu’on est pas cette personne. On connaît autant quelqu’un d’autre que soi-même. L’autre connaît des aspects de nous que l’on ne connaît pas et l’on connaît des aspects de nous